Ce matin là, comme d’hab, tu étais partis pour une de ces sorties avant taf. Nous qui étions arrivés un peu avant, nous savions tes habitudes. Vers 10h, on t’aurait vu débarquer, tu nous aurais lancé un « salut les geeks » et on se serait embarqué avec toi pour une autre journée décoiffante !

Bien sur, pour commencer, tu aurais transformé le plateau en un sèche-linge géant pour vêtements de montagnes, c’était ta manière nous faire partager l’ambiance odorante si particulière des refuges après une grosse virée! Toujours partager ta passion Nico!

Et puis nous t’aurions entendu prendre le téléphone, et avec ton accent de Cambridge, lancer un tonique « Hello, it’s Nicolas, VOLUBILL support » en réveillant tout le plateau et certainement en reveillant celui qui se trouvait à l’autre bout de la ligne. C’était ta marque de fabrique, toujours la pêche, et tout de suite à fond dedans!

A ceux qui seraient venus avec une demande de conseil, ou une question, tu aurais répondu et lancé « Vas-y, fait toi plaiz » avec un grand sourire, c’était ta façon de dire oui et de communiquer tes encouragements et ton énergie positive aux autres.
A midi, tu nous aurais épaté avec tes 800g de mélange riz/pâtes règlementaire, préparé la veille dans ton tupperware décoloré. Et oui, le lendemain, il fallait remettre ça, et pour remettre ça, il fallait bien du carburant!
Après ca, à ceux qui seraient venus avec un problème, tu aurais conclu « c’est balot », pour rire de ton loupé, et si c’était le loupé d’un autre, tu l’aurais gratifié d’un « c’est du grand Mendes » mais avec ca, il serait reparti sans rancune. Tout le monde le sait Nico, ton seul ennemi connu, c’était ton coiffeur!

A ceux qui t’auraient posé un défi en apportant un casse-tête chinois, toi le méticuleux, tu nous aurais démonter ça vite fait bien fait et tu aurais lancé en guise de conclusion un « propre », pour nous dire que l’affaire était pliée et que tu passais à la suivante. C’était comme ça les journées avec toi, décoiffant et dans la bonne humeur!

Un matin, Nico, tu étais arrivé sapé comme un chef, les cheveux coupés comme un enfant de choeur, des belles pompes en cuir noir aux pieds, et on avait su que c’était du sérieux, Stéphanie, il nous parlait de toi souvent et aujourd’hui on est de tout cœur avec toi.

Pas si longtemps, Nico, tu étais revenu d’un week-end à Rome, on t’avait tous charié sur le plan week end romantique, et puis tu nous avait dit que t’avais emmené ta maman pour lui faire un cadeau. Il nous parlait de vous souvent, et on est de tout cœur avec vous.
Voila Nico, c’est dit, mais le principal reste dans nos cœurs. Ciao mec, tu nous manques !

Bien sur, pour commencer, tu aurais transformé le plateau en un sèche-linge géant pour vêtements de montagnes, c’était ta manière nous faire partager l’ambiance odorante si particulière des refuges après une grosse virée! Toujours partager ta passion Nico!
Et puis nous t’aurions entendu prendre le téléphone, et avec ton accent de Cambridge, lancer un tonique « Hello, it’s Nicolas, VOLUBILL support » en réveillant tout le plateau et certainement en reveillant celui qui se trouvait à l’autre bout de la ligne. C’était ta marque de fabrique, toujours la pêche, et tout de suite à fond dedans!
A ceux qui seraient venus avec une demande de conseil, ou une question, tu aurais répondu et lancé « Vas-y, fait toi plaiz » avec un grand sourire, c’était ta façon de dire oui et de communiquer tes encouragements et ton énergie positive aux autres.
A midi, tu nous aurais épaté avec tes 800g de mélange riz/pâtes règlementaire, préparé la veille dans ton tupperware décoloré. Et oui, le lendemain, il fallait remettre ça, et pour remettre ça, il fallait bien du carburant!
Après ca, à ceux qui seraient venus avec un problème, tu aurais conclu « c’est balot », pour rire de ton loupé, et si c’était le loupé d’un autre, tu l’aurais gratifié d’un « c’est du grand Mendes » mais avec ca, il serait reparti sans rancune. Tout le monde le sait Nico, ton seul ennemi connu, c’était ton coiffeur!A ceux qui t’auraient posé un défi en apportant un casse-tête chinois, toi le méticuleux, tu nous aurais démonter ça vite fait bien fait et tu aurais lancé en guise de conclusion un « propre », pour nous dire que l’affaire était pliée et que tu passais à la suivante. C’était comme ça les journées avec toi, décoiffant et dans la bonne humeur!

Un matin, Nico, tu étais arrivé sapé comme un chef, les cheveux coupés comme un enfant de choeur, des belles pompes en cuir noir aux pieds, et on avait su que c’était du sérieux, Stéphanie, il nous parlait de toi souvent et aujourd’hui on est de tout cœur avec toi.
Pas si longtemps, Nico, tu étais revenu d’un week-end à Rome, on t’avait tous charié sur le plan week end romantique, et puis tu nous avait dit que t’avais emmené ta maman pour lui faire un cadeau. Il nous parlait de vous souvent, et on est de tout cœur avec vous.
Voila Nico, c’est dit, mais le principal reste dans nos cœurs. Ciao mec, tu nous manques !
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